Sculpture frontale, 2015-16, stratifié contrecollé sur CP et tole galvanisée, 173 x 115 x 12 cm, photographie : Raphaël Chipault et Benjamin Soligny
Sculpture frontale, 2016, céramique enroulée, 160 x 60 x 10 cm
Sculpture frontale, 2016, stratifié et céramique,164 x 100 x 6 cm, photographie : Raphaël Chipault et Benjamin Soligny
Sculpture frontale, 2016, stratifié et céramique, 164 x 100 x 6 cm, photographie : Raphaël Chipault et Benjamin Soligny
Sculpture frontale, 2016, stratifié contrecollé sur CP et chêne, 172 x 106 x 6 cm, photographie : Raphaël Chipault et Benjamin Soligny
Sculpture frontale, 2015, stratifié contrecollé sur CP et chêne : 156 x 95 x 7 cm, photographie : Raphaël Chipault et Benjamin Soligny
Sculpture frontale, 1993-2015, stratifié, bois : 130 x 75 x 8 cm, photographie : Raphaël Chipault et Benjamin Soligny
Sculpture frontale, 1993-2015, stratifié contrecollé sur CP, bois, 100 x 75 x 18 cm, photographie : Raphaël Chipault et Benjamin Soligny
Sculpture frontale, 2011, stratifié contrecollé sur CP, bois, ardoise, 200 x 120x 3cm, photographie : Raphaël Chipault et Benjamin Soligny
Après un période de résidences et de collaborations, la série des sculptures frontales fait suite à un retour à l’atelier. La reprise de pièces délaissées a réinsufflé cette dynamique, cette restitution spatiale raccourcie sur le plan du mur et vient comme une injonction à aplatir et décomposer ces plans… Lire le texte
Un peu de temps à l’état pur Grillage, 2003 circa 250 x 280 x 220 cm photographie : Raphaël Chipault
Un peu de temps à l’état pur
Porcelaine 33 x 14 x 15 cm chacune 2004 et chaise
vue de l’exposition « Si peu reconnaissable », Maison de la culture, Amiens, 2004
Un peu de temps à l’état pur Porcelaine 33 x 14 x 15 cm chacune 2004 et chaise vue de l’exposition « le théâtre des pesanteurs », Centre d’art Passages, Troyes, 2006
Un peu de temps à l’état pur Porcelaine, 2005, 45 x 50 x 69 cm, photographes : Raphaël Chipault et Benjamin Soligny Collection du musée des Beaux-arts d’Amiens
Un peu de temps à l’état pur Porcelaine, 2005, 45 x 50 x 69 cm, Collection du musée des Beaux-arts Amiens
Un peu de temps à l’état pur Grés 18 x 35 x 35 cm 2006 photographe : Raphaël Chipault et Benjamin Soligny
Un peu de temps à l’état pur
Installation 2004 détail
Coton et faïence de Gien
vue de l’exposition « Si peu reconnaissable », Maison de la culture, Amiens, 2004
Photographes : Raphaël Chipault et Benjamin Soligny
Un peu de temps à l’état pur
Installation 2004 détail
Coton et faïence de Gien
vue de l’exposition « La machinerie du réel » l’arsenal, Musées de Soissons, 2010/11
Un peu de temps à l’état pur, image fixe d’une vidéo, 2 min 13, 2004
Un peu de temps à l’état pur, Installation 2005, Chaise et faïence de Gien, La vitrine Lac&s, Limoges, Photographe : Marie-Laure Moity
Un peu de temps à l’état pur, Installation 2005 détail, Chaise et faïence de Gien, La vitrine Lac&s, Limoges, Photographe : Marie-Laure Moity
Un peu de temps à l’état pur Installation 2007 faïence de Gien vue de ‘exposition « Latence des choses » Atelier Cantoisel, Joigny
Un peu de temps à l’état pur
Installation 2006 détail
Chaise et faïence de Gien
vue de l’exposition, « se retourner « École d’art du Beauvaisis
Photographes : Raphaël Chipault et Benjamin Soligny
Un peu de temps à l’état pur
Installation 2010,
vue de l’exposition « La scène française contemporaine »
Musée national de la céramique, Sèvres
Photographie : Gérard Jonca : Sèvres – Cité de la céramique
Un peu de temps à l’état pur
Installation 2010, Porcelaine de Sèvres
vue de l’exposition « La scène française contemporaine »
Musée national de la céramique, Sèvres
Photographie : Gérard Jonca : Sèvres – Cité de la céramique
Un peu de temps à l’état pur Installation, 2010, Faïence de Gien vue de l’exposition « La scène française contemporaine » Musée national de la céramique, Sèvres Photographie : Gérard Jonca : Sèvres – Cité de la céramique
Un peu de temps à l’état pur
Cette série développe trois démarches. Une démarche menée autour des installations, tout d’abord l’empilement de tambours réalisés en grillage, formes molles qui se stabilisent au gré des affaissements ; ensuite des empilements d’assiettes qui s’érigent, progressent, cherchent le point d’équilibre à la limite du déséquilibre. Assiette après assiette, les piles se dressent, se chevauchent dans un équilibre précaire, dialoguant avec l’espace et l’architecture dans lequel elles sont installées. Elles affrontent les lois de la physique, maintiennent le souffle d’un temps suspendu, déjouant la gravité… Lire le texte
Le théâtre des pesanteurs, 2006, Textile et faïence de Gien, vue de l’exposition : La machinerie du réel, l’arsenal, Musées de, Soissons, 2010/11, photographe : Raphaël Chipault
Le théâtre des pesanteurs, 2006, Textile et faïence de Gien, vue de l’exposition : La machinerie du réel, l’arsenal, Musées de, Soissons, 2010/11, photographe : Raphaël Chipault
Le théâtre des pesanteurs, 2006, Textile et faïence de Gien, vue de l’exposition : La machinerie du réel, l’arsenal, Musées de, Soissons, 2010/11, photographe : Raphaël Chipault
Le théâtre des pesanteurs, 2006, Textile et faïence de Gien, vue de l’exposition : La machinerie du réel, l’arsenal, Musées de, Soissons, 2010/11, photographe : Raphaël Chipault
Le théâtre des pesanteurs, installation, 2006, Textile et faïence de Gien, vue de l’exposition : le théâtre des pesanteurs, Centre d’art Passages, Troyes, 2006
Le théâtre des pesanteurs, installation, 2006, Textile et faïence de Gien, vue de l’exposition : le théâtre des pesanteurs, Centre d’art Passages, Troyes, 2006
Le théâtre des pesanteurs, installation, 2006, Textile et faïence de Gien, vue de l’exposition : le théâtre des pesanteurs, Centre d’art Passages, Troyes, 2006
Le théâtre des pesanteurs, installation, 2006, Textile et faïence de Gien, vue de l’exposition : le théâtre des pesanteurs, Centre d’art Passages, Troyes, 2006
Le théâtre des pesanteurs, installation 2006 détail, Textile et faïence de Gien, vue de l’exposition : Manieur de gravité, Galerie Duchamp, Yvetot 2006, photographes : Raphaël Chipault et Benjamin Soligny
Installation, exposition Un peu de temps à l’état pur, La vitrine Lac&s, Limoges, 2005
Installation, exposition le théâtre des pesanteurs, Centre d’art Passages, Troyes, 2006
installation, exposition, La vaisselle de la Reine Renée, Musée d’art, Baugé, 2008
Installation, exposition se retourner, Espace culturel F. Mitterand, Beauvais, 2006 photographe : Raphaël Chipault
Cortège des transfigurations et des déchéances, détail, bois cire 1991, lin 2004, céramique (2005), textile lin (2002), cire, bois (1991), grillage (2003), céramique (2009), contreplaqué (2003), cire, bois (1991) 1991‐2006, vue de l’exposition : La machinerie du réel, L’arsenal Musée de Soissons, 2010, photographe : Raphaël Chipault
Cortège des transfigurations et des déchéances, détail, cire, bois, grillage, céramique, contreplaqué,1988-‐2006, Vue de l’exposition : La machinerie du réel, L’arsenal Musée de Soissons, 2010, photographe : Raphaël Chipault
Cortège des transfigurations et des déchéances, 1986-2010, polyester, bois, formica(1996), bois cire (1991 et 1992), textile lin 2003), grillage (2003), céramique (2005), fontes d’aluminium (2010) bois et formica noir (1986), contreplaqué (2003) bois et stratifié ( 1987), Vue de l’exposition : La machinerie du réel, L’arsenal Musée de Soissons, 2010 photographe : Raphaël Chipault
Cortège des transfigurations et des déchéances, cire, bois, (1991) porcelaine, (2004) linogravure (2005), contreplaqué (2002), textile lin (2003) textile jersey (2006),1991-‐2006
Vue de l’exposition : La machinerie du réel, L’arsenal Musée de Soissons, 2010
photographe : Raphaël Chipault
Cortèges des transfigurations et des déchéances
Percevoir, c’est négocier le réel, c’est une transmutation élaborée depuis les impacts lumineux. Le regard élabore la vision pour la rendre intelligible en signes. Des étapes dans ce processus de reconnaissance nous conduisent à reconnaître, à nommer, abstraire avant de retourner au flou de la matière. Ces sculptures déploient des passages vers l’identification. Éventuellement, ce processus peut enclencher un retour en arrière vers une forme déchue revenue à l’état de matériau… Lire le texte
Ghisaline Vappereau – Exposition Soissons – novembre 2010
Ghisaline Vappereau – Exposition Soissons – novembre 2010
Ghislaine Vappereau – Musée des beaux-arts, Amiens – 2012
Ghislaine Vappereau – Musée des beaux-arts, Amiens – 2012
Un geste cartésien
Et si une réponse artistique à la question cartésienne consistait à réactiver l’interrogation, entre sérieux et ironie ? A la retourner aussi, à l’occasion : « si l’on montre des formes en formation, animées par des fils, que vois-je ? » Que penser de l’insistance de Ghislaine Vappereau à invoquer Descartes ?… Lire le texte de Maryvonne Saison
Le poêle de Descartes
Percevoir, c’est négocier le réel, c’est une transmutation élaborée depuis les impacts lumineux. Le regard élabore la vision pour la rendre intelligible en signes. Des étapes dans ce processus de reconnaissance nous conduisent à reconnaître, à nommer, abstraire avant de retourner au flou de la matière. Dans ce projet, des sculptures déploient des passages vers l’identification. Éventuellement, ce processus peut enclencher un retour en arrière vers une forme déchue revenue à l’état de matériau… Lire le texte de Ghislaine Vappereau
Mine de rien, 1998, 114 x 60 x 60 cm, céramique, terre de Provins. Photo : Ghislaine Vappereau
Mine de rien, 2004, porcelaine, grès de la Puisaye, 38 x 15 x 15 cm.
Mine de rien, 2004, porcelaine, 38 x 15 x 15 cm. Photo : Nabil Boutros.
Mine de rien, 1998, dimensions variables, textile, vêtements noués.
Mine de rien, 1999, 25 x 16 x 20 cm, bronze. Photo : Raphaël Chipault.
Mine de rien, 1999, grès de la Puisaye, 37 x 23 x 24 cm. Photo : Raphaël Chipault.
Mine de rien, 1998, cire, bois, zinc.
Mine de rien, 1998, porcelaine, 27 x 20 x 15 cm. Photo : Raphaël Chipault.
Mine de rien, 1997, terre de langeais, 28 x 15 x 22 cm. Photo : Thierry Hauvespre.
Mine de rien, 1997, 200 x 80 x 80 cm, aluminium, fer, grillage, Collection fonds d’art contemporain de Seine-Saint-Denis
Mine de rien, 1997, 330 x 300 x 215 cm, aluminium, fer
Mine de rien, 1997, 215 x 97 x 145 cm, aluminium brossé, grillage
Mine de rien, 1998, 231 x 120 x 90 cm, bois, cire, tôle galvanisée, polyester, porcelaine
Mine de rien, 1998, 231 x 120 x 90 cm, bois, cire, tôle galvanisée, polyester, porcelaine
Ce titre mine de rien témoigne d’une attitude qu’on aimerait laisser en suspens. Il vient juste comme une indication qui évoque une légère impertinence. Écrire oblige à préciser ce qu’on aimerait sous-entendre dans une complicité partagée, par une mimique, un haussement d’épaule ou une moue amusée… Lire le texte