Installation, exposition Un peu de temps à l’état pur, La vitrine Lac&s, Limoges, 2005
Installation, exposition le théâtre des pesanteurs, Centre d’art Passages, Troyes, 2006
installation, exposition, La vaisselle de la Reine Renée, Musée d’art, Baugé, 2008
Installation, exposition se retourner, Espace culturel F. Mitterand, Beauvais, 2006 photographe : Raphaël Chipault
Cortège des transfigurations et des déchéances, détail, bois cire 1991, lin 2004, céramique (2005), textile lin (2002), cire, bois (1991), grillage (2003), céramique (2009), contreplaqué (2003), cire, bois (1991) 1991‐2006, vue de l’exposition : La machinerie du réel, L’arsenal Musée de Soissons, 2010, photographe : Raphaël Chipault
Cortège des transfigurations et des déchéances, détail, cire, bois, grillage, céramique, contreplaqué,1988-‐2006, Vue de l’exposition : La machinerie du réel, L’arsenal Musée de Soissons, 2010, photographe : Raphaël Chipault
Cortège des transfigurations et des déchéances, 1986-2010, polyester, bois, formica(1996), bois cire (1991 et 1992), textile lin 2003), grillage (2003), céramique (2005), fontes d’aluminium (2010) bois et formica noir (1986), contreplaqué (2003) bois et stratifié ( 1987), Vue de l’exposition : La machinerie du réel, L’arsenal Musée de Soissons, 2010 photographe : Raphaël Chipault
Cortège des transfigurations et des déchéances, cire, bois, (1991) porcelaine, (2004) linogravure (2005), contreplaqué (2002), textile lin (2003) textile jersey (2006),1991-‐2006
Vue de l’exposition : La machinerie du réel, L’arsenal Musée de Soissons, 2010
photographe : Raphaël Chipault
Cortèges des transfigurations et des déchéances
Percevoir, c’est négocier le réel, c’est une transmutation élaborée depuis les impacts lumineux. Le regard élabore la vision pour la rendre intelligible en signes. Des étapes dans ce processus de reconnaissance nous conduisent à reconnaître, à nommer, abstraire avant de retourner au flou de la matière. Ces sculptures déploient des passages vers l’identification. Éventuellement, ce processus peut enclencher un retour en arrière vers une forme déchue revenue à l’état de matériau… Lire le texte
Mine de rien, 1998, 114 x 60 x 60 cm, céramique, terre de Provins. Photo : Ghislaine Vappereau
Mine de rien, 2004, porcelaine, grès de la Puisaye, 38 x 15 x 15 cm.
Mine de rien, 2004, porcelaine, 38 x 15 x 15 cm. Photo : Nabil Boutros.
Mine de rien, 1998, dimensions variables, textile, vêtements noués.
Mine de rien, 1999, 25 x 16 x 20 cm, bronze. Photo : Raphaël Chipault.
Mine de rien, 1999, grès de la Puisaye, 37 x 23 x 24 cm. Photo : Raphaël Chipault.
Mine de rien, 1998, cire, bois, zinc.
Mine de rien, 1998, porcelaine, 27 x 20 x 15 cm. Photo : Raphaël Chipault.
Mine de rien, 1997, terre de langeais, 28 x 15 x 22 cm. Photo : Thierry Hauvespre.
Mine de rien, 1997, 200 x 80 x 80 cm, aluminium, fer, grillage, Collection fonds d’art contemporain de Seine-Saint-Denis
Mine de rien, 1997, 330 x 300 x 215 cm, aluminium, fer
Mine de rien, 1997, 215 x 97 x 145 cm, aluminium brossé, grillage
Mine de rien, 1998, 231 x 120 x 90 cm, bois, cire, tôle galvanisée, polyester, porcelaine
Mine de rien, 1998, 231 x 120 x 90 cm, bois, cire, tôle galvanisée, polyester, porcelaine
Ce titre mine de rien témoigne d’une attitude qu’on aimerait laisser en suspens. Il vient juste comme une indication qui évoque une légère impertinence. Écrire oblige à préciser ce qu’on aimerait sous-entendre dans une complicité partagée, par une mimique, un haussement d’épaule ou une moue amusée… Lire le texte