Un peu de temps à l’état pur Grillage, 2003 circa 250 x 280 x 220 cm photographie : Raphaël Chipault
Un peu de temps à l’état pur
Porcelaine 33 x 14 x 15 cm chacune 2004 et chaise
vue de l’exposition « Si peu reconnaissable », Maison de la culture, Amiens, 2004
Un peu de temps à l’état pur Porcelaine 33 x 14 x 15 cm chacune 2004 et chaise vue de l’exposition « le théâtre des pesanteurs », Centre d’art Passages, Troyes, 2006
Un peu de temps à l’état pur Porcelaine, 2005, 45 x 50 x 69 cm, photographes : Raphaël Chipault et Benjamin Soligny Collection du musée des Beaux-arts d’Amiens
Un peu de temps à l’état pur Porcelaine, 2005, 45 x 50 x 69 cm, Collection du musée des Beaux-arts Amiens
Un peu de temps à l’état pur Grés 18 x 35 x 35 cm 2006 photographe : Raphaël Chipault et Benjamin Soligny
Un peu de temps à l’état pur
Installation 2004 détail
Coton et faïence de Gien
vue de l’exposition « Si peu reconnaissable », Maison de la culture, Amiens, 2004
Photographes : Raphaël Chipault et Benjamin Soligny
Un peu de temps à l’état pur
Installation 2004 détail
Coton et faïence de Gien
vue de l’exposition « La machinerie du réel » l’arsenal, Musées de Soissons, 2010/11
Un peu de temps à l’état pur, image fixe d’une vidéo, 2 min 13, 2004
Un peu de temps à l’état pur, Installation 2005, Chaise et faïence de Gien, La vitrine Lac&s, Limoges, Photographe : Marie-Laure Moity
Un peu de temps à l’état pur, Installation 2005 détail, Chaise et faïence de Gien, La vitrine Lac&s, Limoges, Photographe : Marie-Laure Moity
Un peu de temps à l’état pur Installation 2007 faïence de Gien vue de ‘exposition « Latence des choses » Atelier Cantoisel, Joigny
Un peu de temps à l’état pur
Installation 2006 détail
Chaise et faïence de Gien
vue de l’exposition, « se retourner « École d’art du Beauvaisis
Photographes : Raphaël Chipault et Benjamin Soligny
Un peu de temps à l’état pur
Installation 2010,
vue de l’exposition « La scène française contemporaine »
Musée national de la céramique, Sèvres
Photographie : Gérard Jonca : Sèvres – Cité de la céramique
Un peu de temps à l’état pur
Installation 2010, Porcelaine de Sèvres
vue de l’exposition « La scène française contemporaine »
Musée national de la céramique, Sèvres
Photographie : Gérard Jonca : Sèvres – Cité de la céramique
Un peu de temps à l’état pur Installation, 2010, Faïence de Gien vue de l’exposition « La scène française contemporaine » Musée national de la céramique, Sèvres Photographie : Gérard Jonca : Sèvres – Cité de la céramique
Un peu de temps à l’état pur
Cette série développe trois démarches. Une démarche menée autour des installations, tout d’abord l’empilement de tambours réalisés en grillage, formes molles qui se stabilisent au gré des affaissements ; ensuite des empilements d’assiettes qui s’érigent, progressent, cherchent le point d’équilibre à la limite du déséquilibre. Assiette après assiette, les piles se dressent, se chevauchent dans un équilibre précaire, dialoguant avec l’espace et l’architecture dans lequel elles sont installées. Elles affrontent les lois de la physique, maintiennent le souffle d’un temps suspendu, déjouant la gravité… Lire le texte
Le théâtre des pesanteurs, 2006, Textile et faïence de Gien, vue de l’exposition : La machinerie du réel, l’arsenal, Musées de, Soissons, 2010/11, photographe : Raphaël Chipault
Le théâtre des pesanteurs, 2006, Textile et faïence de Gien, vue de l’exposition : La machinerie du réel, l’arsenal, Musées de, Soissons, 2010/11, photographe : Raphaël Chipault
Le théâtre des pesanteurs, 2006, Textile et faïence de Gien, vue de l’exposition : La machinerie du réel, l’arsenal, Musées de, Soissons, 2010/11, photographe : Raphaël Chipault
Le théâtre des pesanteurs, 2006, Textile et faïence de Gien, vue de l’exposition : La machinerie du réel, l’arsenal, Musées de, Soissons, 2010/11, photographe : Raphaël Chipault
Le théâtre des pesanteurs, installation, 2006, Textile et faïence de Gien, vue de l’exposition : le théâtre des pesanteurs, Centre d’art Passages, Troyes, 2006
Le théâtre des pesanteurs, installation, 2006, Textile et faïence de Gien, vue de l’exposition : le théâtre des pesanteurs, Centre d’art Passages, Troyes, 2006
Le théâtre des pesanteurs, installation, 2006, Textile et faïence de Gien, vue de l’exposition : le théâtre des pesanteurs, Centre d’art Passages, Troyes, 2006
Le théâtre des pesanteurs, installation, 2006, Textile et faïence de Gien, vue de l’exposition : le théâtre des pesanteurs, Centre d’art Passages, Troyes, 2006
Le théâtre des pesanteurs, installation 2006 détail, Textile et faïence de Gien, vue de l’exposition : Manieur de gravité, Galerie Duchamp, Yvetot 2006, photographes : Raphaël Chipault et Benjamin Soligny
Ghisaline Vappereau – Exposition Soissons – novembre 2010
Ghisaline Vappereau – Exposition Soissons – novembre 2010
Ghislaine Vappereau – Musée des beaux-arts, Amiens – 2012
Ghislaine Vappereau – Musée des beaux-arts, Amiens – 2012
Un geste cartésien
Et si une réponse artistique à la question cartésienne consistait à réactiver l’interrogation, entre sérieux et ironie ? A la retourner aussi, à l’occasion : « si l’on montre des formes en formation, animées par des fils, que vois-je ? » Que penser de l’insistance de Ghislaine Vappereau à invoquer Descartes ?… Lire le texte de Maryvonne Saison
Le poêle de Descartes
Percevoir, c’est négocier le réel, c’est une transmutation élaborée depuis les impacts lumineux. Le regard élabore la vision pour la rendre intelligible en signes. Des étapes dans ce processus de reconnaissance nous conduisent à reconnaître, à nommer, abstraire avant de retourner au flou de la matière. Dans ce projet, des sculptures déploient des passages vers l’identification. Éventuellement, ce processus peut enclencher un retour en arrière vers une forme déchue revenue à l’état de matériau… Lire le texte de Ghislaine Vappereau
Installation, vue d’atelier, Paris, 1979, 200 x 150 x 100 cm
Installation 1979 Vue d’atelier, paris( détail)
Installation, Biennale de Paris, 1980, 240 x 260 x 200 cm
Installation, Biennale de Paris, 1980, 240 x 260 x 200 cm
Installation, Maison de la culture d’Amiens, 1982, 200 x 150 x 150 cm (détail)
Installation, Maison de la culture d’Amiens, 1982 , 200 x 150 x 150 cm (détail) collection Fonds régional d’art contemporain de Picardie)
Installation, usine Palikao, Paris 1982
Installation, maison de la culture de Rennes, 1983, 240 x 280 x 240 cm
Installation, maison de la culture de Rennes, 1983, 240 x 280 x 240 cm
Installation, art provisoire, le Mans, 1983, 180 x 150 x 100
Installation, vue d’atelier, 1983 (détail)
La cuisine est née à la suite de la découverte d’une casserole émaillée bleue, percée. Sa forme correspondait à une marmite, mais sa taille est si réduite qu’aucun mot ne la nommait, aucune formule ne lui convenait parfaitement… Lire le texte
L’irréductibilité des Objets
Non pas le spectacle qu’elle offrirait au regard, puisque rien ne bouge, rien ne se passe que dans un remuement au fond de nous-mêmes. Mais, un peu, la cuisine telle qu’en elle même… Lire le texte de Claude Engelbach